mercredi 29 juillet 2015

Randonnée au mont Marcy

Le mont Marcy est la plus haute montagne de l’état de New York.

Du haut de ses 5, 344 pieds elle domine les sommets avoisinants faisant partie des 46 sommets des Adirondacks.

On s’y rend par la route 87 en direction de New York, empruntant la sortie 34 pour rejoindre les routes secondaires. Il faut suivre la 9N en direction de Ausable Forks/Keesville que l’on doit suivre sur 40 km pour rejoindre la 73W qu’il faudra emprunter pour un autre 18 km avant de suivre les indications pour rejoindre l’Adirondack Loj, lieu de rencontre des randonneurs.

Le sentier pour se rendre à Marcy est long mais l’ascension est graduelle, faisant en sorte que le randonneur en forme ne doit pas puiser dans ses réserves d’énergie avant de s’approcher de la montagne proprement dit.

Le chemin pour se rendre prend son départ à l’Adirondack Loj, en direction de Marcy Dam.


On emprunte ensuite le sentier Phelp Brooks en direction d’Indian Falls qu’on atteint environ 2 kilomètres avant le sommet.



Ceci dit, il s’agit d’une randonnée pour personne expérimentée. Il faut compter environ 10 kilomètres avant de découvrir les premiers escarpements de la montagne.


Dès qu’on approche de la montagne on constate que l’ascension n’est pas terminée.

Après une longue marche qui dure quelques heures, on doit grimper environs 350 mètres en moins de deux kilomètres.


Mais la récompense nous attends au sommet. La vue est magnifique et imprenable. On voit les sommets des monts Algonquin, Haystack et autres parmi les plus hautes de l’état.

On donne également le nom indien Tahawus au mont Marcy— le mot signifie « fendeur de nuage », il semble que ce nom ne provienne pas d’indiens mais bien une invention de colons européens[i]. Une plaque commémore la première ascension à son sommet.




Une montagne fantastique et qui couronne bien la liste des sommets de la région.

Fiche technique

Niveau de difficulté: Difficile      (à cause de la longue marche qu’on doit d’abord effectuer)
Hauteur: 1629 m. ou 5344 pi.
Déniveler: 1 000 m.
Distance (aller-retour): 24
Durée: Environ entre 9 et 11 heures


[i] Source : Wikipédia. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Marcy

lundi 20 juillet 2015

Soigner les petits bobos

Je me blesse régulièrement durant les randonnées. C’est idiot, mais j’ai toujours un petit accrochage. Rien de bien malheureux, mais parfois ça crée une situation qui perdure.

Par exemple lors de ma première ascension dans le New Hampshire, je me suis dirait-on cogné le coude droit.

Je ne m’en suis même pas rappelé. Pas de douleur particulière mais tout à coup un boule qui apparaît sur le coude.

Gênant car un peu volumineuse, on voit nettement que quelque chose cloche. On dirait comme lorsqu’on a de l’eau dans le genou.

J’allais prendre rendez-vous chez le médecin mais j’ai plutôt décidé de consulter l’internet avant. J’ai trouvé quelques articles qui traitaient d’un mal appelé l’hygroma du coude. Selon l’Institut Français de Chirurgie de la Main l’hygroma est une inflammation de la bourse séreuse qui permet le glissement de la peau sur l’os. Les causes varient entre les chocs à répétition, l’arthrite ou la goutte. 

Dans mon cas l’apparition soudaine semble indiquer le choc.

Pour soigner cette petite inflammation on suggère une petite ponction faite par un chirurgien.

Personnellement je ne suis pas très attirer par les chirurgies, fut-elles aussi petites. Je préfère explorer d’autres avenues.

J’ai donc continué mes recherches et j’ai trouvé plusieurs forum qui parlent des vertus de l’argile verte.

Je me suis donc rendu en pharmacie et m’enquérais de l’existence de ce produit et de ses capacités.
On m’a référé chez un marchand de produits naturels.

J’ai été très satisfait de ma trouvaille.

Je me suis fait un cataplasme d’argile depuis deux semaines. Au début je ne voyais aucune différence suite à l’application pendant 2 heures (recommandation sur l’emballage). Certains forums mentionnaient que le taux de succès est assez rapide si on passe la nuit avec le dit cataplasme.

Depuis une semaine c’est ce que j’ai fait. Le résultat semble tout à fait positif, la bosse qui dimanche dernier était très apparente se résorbe petit à petit.

 Un écart d'une semaine sépare ces 2 photos.


samedi 11 juillet 2015

Quatorze!

C’est le nombre de kilomètres que j’ai couru aujourd’hui. Après une convalescence qui a duré près de deux semaines je me suis remis à l’entrainement dimanche dernier.

Je vous avais dit qu’il faut écouter son corps. Et bien le mien me disait que cette fois-ci il est préférable de prendre un peu de repos.

Après la chute de vélo, j’ai complété un cinq kilomètres très lentement, dès le lendemain, cependant la nuit suivante j’ai souffert d’avoir tenté de continuer l’entraînement malgré la blessure.

Les courtes heures au cours desquelles j’ai réussi à dormir un peu m’ont démontrées que ce genre de blessure nécessite un repos complet de course à pied. La cage thoracique est plus sollicitée lors de l’entrainement et la fraîcheur de la blessure ne faisait qu’accentuer le niveau de douleur ressenti par la suite.

J’ai donc arrêté la course pendant près de deux semaines. La seule activité légèrement physique durant cette période étant une petite randonnée au Québec, au mont Chauve.

Mais dimanche dernier je me sentais mieux, j’avais constaté que mon sommeil était meilleur car peu de fois je me suis éveillé. J’ai donc décidé d’aller faire une course longue.

Un petit 13 kilomètres, histoire de reprendre l’entraînement là où je l’avais laissé et souhaitant minimiser l’impact de cette interruption.

Je suis parti très lentement, et la douleur, quoique plus facile à supporter, était bien présente. Je suis tout de même parvenu à compléter la distance, même si je suis allé très lentement.

Le lendemain j’ai pris le vélo et j’ai parcouru la distance qui sépare ma maison du bureau, un aller-retour compléter le soir.  Et ainsi de suite toute la semaine.

Ce matin, je suis allé faire ma course longue avec objectif de compléter 14 kilomètres. Ça s’est bien passé, je suis parvenu à maintenir un bon rythme et même trouvé le moyen d’accélérer sur le deuxième sept. Mon ancien coach aurait été fier de moi, je n’arrivais jamais à terminer plus fort, ce n’est que depuis cette année que j’y parviens.


Demain c’est direction les États-Unis. Une randonnée longue en perspective, je vous raconterai à mon retour. 

jeudi 2 juillet 2015

Repos

Toujours en mode récupération, donc pas grand-chose à écrire.

Je devrais recommencer ce weekend . Je vous reviens.