vendredi 24 juin 2011

Quand la vie se mêle de nos entraînements...

On a beau avoir toute la discipline qu'on veut, il arrive que la vie nous met des bâtons dans les roues lorsqu'il s'agit de notre entraînement.

La discipline dans un entraînement ça fonctionne bien lorsque les choses vont bien. Mais quand un évènement vous arrive, un malheur vous frappe, ou la maladie vous retrouve, il arrive que les meilleures intentions soient contrecarrées.

J'ai vécu un de ces évènements récemment. Je ne partagerai pas avec vous ce qui s'est passé, mais disons que ça a sérieusement perturbé mon plan pour la course. Pendants plusieurs jours j'ai été littéralement incapable de chausser mes souliers, aucune volonté, aucun plaisir.

Je croyais bien que la saison était terminée.

Le problème pour moi c'est que si j'arrête, j'ai peur de ne pourvoir recommencer. Et ne pas recommencer pourrais nuire à ma santé.

Malgré mon désarroi j'ai donc remis mes souliers. Je suis retourné courir. Pendant ma première sortie j'avais l'esprit ailleurs, je n'arrivais pas à me concentrer sur ma course.

Lentement j'ai mis mes idées noires au rancart et lentement je me suis remis à me concentrer sur ma course. Je suis retourné courir cette semaine. Je suis parvenu à faire tous mes entraînements, même si le coeur n'y est pas encore.

Dans les bons, et dans les moins bons moments, j'ai toujours trouvé que la course à pied est un bon compagnon. Lorsque ça va bien, courir est une récompense, lorsque ça va moins bien c'est une façon d'oublier, de passer à autre chose.

Je n'ai pas encore le moral au maximum, mais disons que je suis sur la bonne voie.

Pour ce qui est de l'entraînement. Cette semaine je suis indécis. J'ai un dilemne. D'un côté solidifier ma performance du 4 juin, de l'autre débuter un entraînement pour le semi-marathon du début de septembre.

La seule course de 10 kilomètres près de Montréal prochainement c'est celle du circuit Dix30 à Longueuil. Par contre le parcours n'est pas certifié, alors je me dis que je n'aurai pas plus de satisfaction que celle de Brossard.

Alors je suis incertain à savoir si je dois m'entêter à refaire un 10 en donnant tout ce que j'ai ou débuter mon entraînement pour le 21 kilomètres...

Suggestions? Idées de courses d'ici le milieu de juillet?

Autrement, vous faites quoi quand vous n'avez pas le moral? Vous allez courir tout de même?

dimanche 19 juin 2011

No pain, no gain...

Ce matin je vous écrit en direct de mon balcon. Installé sagement dans mon fauteuil, je contemple une ruelle tout à fait urbaine de Montréal.

Mon voisin d'en arrière est en train de regarder une feuille de pré-fini qui servira sans doute à enjoliver son sous-sol. Pendant ce temps, mon autre voisin quelques maisonnettes plus loin nous fait partager ses goûts musicaux, qui me conviennent parfaitement ce matin. Une musique aux accents portugais, festive et joyeuse.Tout à fait au goût du jour.

Le soleil un peu moins puissant ce matin permet aux coureurs de se détendre ou d'y aller à fond sans devoir se soucier de la déshydratation. Une journée parfaite.

Je suis allé faire une petite "long run" de 8 kilomètres ce matin. Difficile encore une fois de s'en tenir aux recommandations du "Smart coach" de maintenir une vitesse de 60 % - 65 % mais j'essais de m'y conformer. Maintenant que je me suis fait la preuve que ce genre d'entraînement peut fonctionner avec moi je ne vais pas commencer à changer de technique, en tout cas pas maintenant.

Je réalisais comment je me sentais bien ce matin. Un de ces rares moments ou tout semble fonctionner. La force dans les jambes, la fatigue supportable, la température qui permet de courir à son rythme sans ajouter un facteur externe qui vient contrebalancer le tout. La force du corps et le repos de l'esprit. Les deux réunis le tout ajouté à une température parfaite. Vraiment une superbe journée pour un entraînement.

Lorsque je courais ce matin, je me suis rappelé comment j'appréhendais ma course du 4 juin dernier. Les promesses que je m'étaient faites et celles que j'avais partagées, comment me sentirais-je si je ne parvenais pas à atteindre mon objectif?

Ce matin, tout cela semblait si loin... Je me suis remis à penser à un truc qui me chicotte depuis longtemps. Pas certain que je n'en ai déjà parlé, mais bon désolé si je radote. Je me suis dit que je ne sais pas vraiment quelle est ma vitesse maximum. J'ai lu quelque part qu'on perd de la vitesse, qu'on doit s'attendre à être moins performant en vieillissant, mais si on ne sait pas quelle était sa vitesse maximale à l'âge de 25 ans, comment savoir  ce qu'elle devrait être à 50?

C'est pour cela que je continue à croire que je peux faire mieux encore. C'est pour cela que je continue a vouloir courir plus vite. Je ne sais pas quel est mon point maximal ni comment j'en arriverai à cette conclusion mais une chose est claire: pour arriver à être plus performant il faut pousser la machine, être prêt à souffrir.

Je n'ai pourtant pas souffert tellement lors de la course du 4 juin. Ça c'est la bonne nouvelle. Clairement dans ma tête refaire cette performance personnelle est atteignable, la dépasser, sans aucun doute. La question sera maintenant, jusqu'où? Ce n'est par contre qu'à partir du moment ou j'ai de nouveau accepté que je n'arriverais  pas à atteindre mon objectif sans pousser la machine, sans accepter de souffrir, que j'ai recommencé à progresser.

J'avais dans la tête durant ces séances d'entraînements le slogan "No pain, no gain", qui me revenait sans cesse. Une façon comme une autre de se motiver.

Je me suis demandé qui avait mentionné ces paroles en premier. Une recherche sur Internet dit que c'est l'actrice Jane Fonda qui a popularisées ces paroles, qu'elle utilisait fréquemment dans ses vidéos d'exercice au début des années '80. L'origine réelle de ces paroles semble discutable, certains l'attribue à Benjamin Franklin qui aurait écrit des paroles similaires dans une de ses pièces de théâtre d'autres la font remontée aux début du premier millénaire dans les écrits du Pirkei Avot un texte Hébreux, mais ce qui compte c'est l'impacte que ces paroles peuvent avoir si on les fait siennes.

Je compte m'inscrire pour un évènement dans les prochaines semaines, mais je veux bien choisir, j'ai besoin d'une course qui me permet de bien compter mon temps, une qui chronomètre le départ et l'arrivée, quoique le course du 4 juin m'a permis de dépasser mon objectif malgré le handicap du départ j'aimerais bien aussi avoir mon "chip time" cette fois-ci. Histoire de savoir quel est mon prochain objectif une fois le bruit du départ retiré de l'équation.

Et vous, que pensez-vous de ce slogan? Y croyez-vous? En avez-vous un autre?

mercredi 8 juin 2011

La chaleur

Je rentre de mon premier entraînement depuis samedi dernier.

J'ai choisi la journée! à 18 hrs la température était retombée (heureusement) à 30 C. Avec l'indice d'humidité de 55 % la température ressentie était de 38 C. En plus, les alertes au SMOG n'ont pas arrêtées de la journée.

Heureusement qu'il s'agissait d'un jogging tranquille à 65 % donc endurable. Malgré tout, je peux dire que je n'aurais pas essayer de pousser si j'avais été obligé. L'entraînement avec la chaleur demande une acclimatation et pour moi je ne suis prêt mentalement que lorsque le calendrier indique qu'on est en juillet. Alors un peu trop tôt pour mon goût.

J'ai trouvé cet article sur Internet concernant l'entraînement avec adaptation à la chaleur, un document publié  par le Centre Canadien Multisport. Les conséquences d'un entraînement non préparé sont multiples, mais le pire sans doute est le coup de chaleur. Je me rappelle d'avoir lu un article sur Jacqueline Gareau qui avait presque perdue conscience lors d'un évènement (il me semble que c'était au Texas) et je suis demeuré marqué par ceci et j'ai toujours fait attention à ne pas me laisser déshydrater lorsqu'il fait très chaud.

Ce soir je me suis bien surveillé. Je reprends l'entraînement en vue de rendre plus formel mon dernier record personnel.

Je pense qu'il est important de bien s'hydrater avant, durant et après l'entraînement, on ne prend jamais trop d'eau lorsqu'on s'entraîne. C'est paradoxal dans mon cas car en dehors des périodes d'entraînements je ne bois presque jamais d'eau mais par contre lorsqu'il s'agit de courir l'été je traîne presque toujours mon sac-à-eau mieux vaut un léger excès de poids en début de course qu'une déshydratation.

Et vous, comment vous entraînez-vous l'été? Avez-vous des trucs pour prévenir la déshydratation?

lundi 6 juin 2011

Mont Ouareau

Pour célébrer l'atteinte de mon objectif je me suis permis une petite randonnée avec ma fille.

Comme il s'agissait de sa première fois j'ai cherché une montagne avec un niveau de difficulté accessible. De plus nous n'avions pas envie de nous réveiller avant les oiseaux donc le choix s'est porté naturellement vers une montagne de la région.

J'avais un préjugé défavorable envers les Laurentides avant de faire cette première sortie à vie dans le nord. J'avoue que cette petite montagne a fait tomber ces idées préconcues et m'a permis de découvrir un secteur que je ne connaissais pas et qui est ma foi très agréable.

La première des fausses idées que j'avais c'est que dans le nord tu te fais dévorer par les moustiques, mouche à chevreuil et insectes dévoreurs d'humains de tout acabit. Idée fausse. En fait nous avions pris nos précautions apportant avec nous à la fois du Off et du Watkins (mieux vaut prévenir) et bien protégez nous n'avons presque vu aucun de ces dévoreurs de chair.

Deuxième fausse idée. Dans le nord, la nature est trop sauvage, les sentiers moins beaux que dans l'Estrie et ça ressemble plus à des chemins de bûcherons qu'à des beaux sentiers bien entretenus. Fausse encore. Les sentiers du Mont Ouareau sont tout à fait charmants et la montée de cette petite montagne est tout à fait agréable.

Maintenant parlons un peu de cette randonnée.

Tout d'abord la montagne est accessible à partir du stationnement gratuit. Un coin peu fréquenté à ce qu'il semble car nous étions pratiquement seuls durant toute la montée. Le sentier est facile d'accès, une dénivellation de moins de 300 mètres nous amène au sommet qui culmine lui à un peu plus de 600 mètres. Le sentier fait moins de 3 kilomètres à l'aller.


Une randonnée accessible pour la famille, sans crainte d'y laisser des morceaux. La montée est généralement continue, mais il y a tout de même de nombreux paliers et quelques montées et descentes.


Au sommet on retrouve deux points de vues aussi magnifique l'un que l'autre.

À l'embranchement, choisissez le premier panorama qui à 100 mètres vous permet d'admirer le lac Ouareau dans toute sa splendeur.


Puis refaites le chemin en sens inverse et retrouvez l'embranchement puis continuer 500 mètres en direction du second point de vue, celui qui donne sur le lac Long.


Pour le retour vous devez prendre le chemin en sens inverse.

Le Mont Ouareau vaut vraiment la peine d'être découvert. Une petite randonnée de quelques heures sans grande difficultés techniques.

Il est également possible d'allonger la randonnée et de faire une plus longue randonnée en se rendant jusqu'au refuge du Lac Lemieux (un autre 5,8 km).

Et vous, connaissez-vous d'autres montagnes qui valent la peine d'être vues dans les Laurentides?

samedi 4 juin 2011

Victoire !

Je l'ai finalement atteint mon objectif de 10 kilomètres en deça de 60 minutes :)

Il était temps, je commençais à sérieusement douter d'y parvenir un jour.

Je vous raconte comment ça s'est passé.

Tout d'abord réveil à 4:50 am impossible de me rendormir par la suite. Gizmo (mon chat) me lèche la figure mais j'ai pas envie de le repousser, je sais qu'il faut me lever. J'ai besoin de prendre mon temps, pas de stress avec l'heure ce matin. Ma cheville droite élance. C'est drôle j'ai eu mal à la gauche mais jamais à la droite...

Déjeuner régulier, rien de spécial. En passant la recette d'hier soir, pas super bon. C'est ça quand on travail avec des restes :p

Après avoir revu mon attirail je m'habille et quitte la maison à 6hrs am. À cette heure là il n'y pas de traffic ce qui fait que j'arrive sur les îles de Bouchervilles parmi les premiers à 6:40 am.

Après avoir constaté que rien n'est prêt pour la cueillette des dossards je retourne vers la bagnole. Ma cheville droite élance toujours.

Je me permet un petit jog de réchauffement, la douleur ne disparaît pas.

Je test ma ceinture de bouteilles d'eau. Celle que j'avais acheté pour le Marathon de Montréal et qui n'a jamais servie. Et bien, elle ne servira pas non plus aujourd'hui. Constat. Elle est trop large même en réduisant la prise du velcro au maximum, elle glisse sur mes fesses, je n'ai pas envie de jouer avec ça ce matin. Elle restera dans la bagnole.

Il fait frais ce matin. 10 celsius, mais ça se réchauffe rapidement. Je vais sans doute laisser mes pelures dans la voiture et courir en short et en t-shirt.

Je laisse mon IPod dans ma poche ce matin. Il m'a trop causé de problème en entraînement, pas question de me fier sur lui ce matin (merci Dominick de m'avoir fait penser que c'est bien pour se concentrer de ne pas écoûter de musique) toute mon attention est sur la course. Seule ma bonne vieille montre avec chrono que je cliquerai au départ de la course et mon Ipod pour enregistrer la distance mais sans les écoûteurs.

Je me présente au départ de la course à 7:45 am. Les gens se déplacent déjà vers le départ, .5 kilomètre plus loin. En arrivant on nous fait patienter, le départ du 21 est 10 minutes avant le nôtre et les coureurs(euses) passeront par le même chemin, alors on attend sur le côté.

Puis on s'approche du départ. Un petit pont branlant, lorsque tous les coureurs le foulent ça bouge. Pas rassurant dirons certains. Je regarde devant, ça me revient... ici pas de capteur pour les puces électroniques au départ, donc le temps final est le temps de l'horloge...

Un léger handicap quand on songe que le goulot d'étranglement est bien réel au départ de cette course et il faudra faire avec. Si je veux atteindre mon objectif il ne faudra pas compter sur le "chip time".

Le départ est donné. On se faufile tant bien que mal et quelques dizaines de mêtres plus loin on commence à prendre un ryhtme de course. Deuxième souvenir... ici les balises sont mal faites. La marque du 1er kilomètre apparaît après 2:20 minutes de course (j'aimerais bien ça mais c'est impossible). Je me rappelle que les points d'eau sont de meilleurs repères. Mais il faut attendre le sixième kilomètre pour retrouver un certain niveau de confiance dans les pannaux. Il faut vraiment se discipliner si on ne veut pas manquer son coup et les premiers 5 kilomètres sont selon la sensation plutôt que selon les marques.

Au 4 ième kilomètre ma blessure à la fesse gauche, héritage d'un entraînement trop fréquent sur la piste intérieur de Claude-Robillard cet hiver (on tourne toujours du même sens), ré-apparaît. Pas grave, pas le temps de penser à ça. La douleur à la cheville a disparue elle.

Au septième kilomètre l'acide lactique se met à me faire souffrir. Je combat en restant zen et en relaxant mes muscles, ça passe.

Au huitième c'est une vieille blessure à l'épaule qui se rappelle à mon bon souvenir. Pas grave, on ne va pas commencer à s'en faire avec ça si près du but.

La marque du neuvième se présente. Je suis en 51:32, ça va bien pas de soucis.

Dernier sprint enthousiaste à 300 mètres de l'arrivée. Je regarde l'horloge, 59:27 minutes. Ouf, c'est juste mais j'y suis parvenu!

Une question dans ma tête, comment ai-je pû faire pour ralentir autant dans le dernier kilomètre en sprintant sur 300 mètres? Impossible. Je ne peux avoir couru ce dernier kilomètre en huit minutes.

Encore une fois la mesure est défaillante.

J'en suis à me dire que la course des îles de Boucherville devrait être rebaptisée la Fun Run des îles de Boucherville. Un certain manque de sérieux dans l'organisation, je ne comprend pas le système de mesure et je l'avais déjà constaté il y a deux ans (mauvaise mémoire qui m'a fait choisir cet évènement pour pourchasser mon objectif :p

Bon, ben c'est fait.

Temps officiel sur sportstats.ca = 59:34. J'aurais aimé plus éclatant, mais compte tenu de ce que je viens de raconter, on va dire que ça fait :))))

Maintenant j'attaque mon prochain objectif. Le semi-marathon en septembre. D'ici là, sans doute un ou deux autres 10 km histoire de bien cimenter ce temps.

Merci de vos encouragements, ils m'ont tenus compagnie ce matin. Une raison de plus de donner ce que j'avais à donner pour atteindre mon objectif :)

Je vais sans doute garder cette médaille et ce dossard un petit bout.


vendredi 3 juin 2011

Le jour J

Demain c'est le jour J.

La semaine n'a pas été super fantastique. J'ai tout de même réussi à faire les entraînements prescrits.

Je suis tombé sur cet article de Runners World qui décrit les composantes typique d'un bon entraînement. J'ai été heureux de constater que la formule décrite Amby Burfoot (son vrai nom?) ressemble à mon entraînement (ouf). Surtout que l'entraînement provient de Runners World (vous devez vous créer un compte "gratuit" pour accéder au Smart Coach), double ouf.

J'ai décrit sur le Grand Club RDS comment je me sens ce soir, alors je ne répéterai pas deux fois les mêmes commentaires, mais disons que je ressent un peu de nervosité ce soir. Peut-être est-ce une bonne chose car lors du Marathon de Montréal je n'en ressentais pas beaucoup, et le résultat a été pas beaucoup fort...

Donc demain j'espère que cette sensation, cette crainte de ne pas atteindre mon objectif se transformera en puissance et en motivation afin de me permettre d'atteindre mon objectif.

D'ici demain je vais sans doute tenter de relaxer un peu. Pas très faim dans le moment et il faudrait bien que je fasse un peu de carbo load, mais disons que ce n'est pas essentiel pour une petite distance.  Je vais finalement me tourner vers les pasta.

Quelque chose de très simple.

Macaroni en coudes
Sauce:
Jus de tomates
Pâte de tomates
Feuille de laurier
Basilic
Poivre
Poudre de chili
Vin rouge

Ça cuit dans le moment, je vous en donnerai des nouvelles.

Il y a des recettes sur Runners World pas trop mal d'ailleurs.

Après il restera à tenter de trouver le sommeil. Dodo très tôt car la course est à 8:10 hrs et j'ai environs 40 minutes de route, alors max 6 hrs debout demain matin, pour avoir un 8 heures de repos il faut se coucher à 10 hrs. Mais je pense même m'installer un peu plus tôt dans mon lit avec un bon bouquin car 6 hrs pour moi c'est trop serré, si je veux être là une demi heure d'avance ou même un peu plus.

J'ai placé mon réveil pour 5 hrs, pas certain que je vais pas taper sur le snooze en l'entendant :p mais on verra au moins j'essairai.

Puis je compte manger un déjeuner normal. Pas de diète farfelue de dernière minute, je vais prendre quelque chose de soutenant, si je me lève tôt ça ne me restera pas sur l'estomac.

Et vous? Vous avez des craintes de dernières minutes avant la course? Vous mangez quoi?

Au plaisir de vous lire.